Patricia CHENEVIER

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Quand l’histoire de l’aviation s’associe au savoir-faire du Peintre en Décor et au savoirêtre d’une artiste.
Petite fille de paludière de Saillé. Une passion d’enfance pour les Arts Graphiques, Un diplôme de Publicité et d’Arts Graphiques à l’Ecole Pivaut de Nantes, Une vie précédente dans la Publicité, Un Titre Professionnel d’Etat de Peintre en Décor à Tours, Des chantiers de trompe-l’œil, Création d’un atelier de Peinture Décorative, Quatre enfants à élever, Elue Maire-adjointe à l’Urbanisme, Atelier de modèles vivants, Stages à l’Ecole Supérieure de Peinture Décorative Jean Sablé à Versailles. Patricia tourne maintenant sa démarche artistique vers le monde aéronautique dans son atelier d’artiste situé dans un vieil hangar sur l’aérodrome de St Cyr L’Ecole, non loin du château de Versailles. Dans cet hangar « des ailes brisées », de pièces détachées d’avions de toute époque, Patricia écoute avec bienveillance les pilotes, mécaniciens passionnés, acharnés. Dans cette ambiance propice à l’émulation, tous travaillent concentrés, s’entraident, se soutiennent. Ils terminent souvent leur journée par une tasse de thé ou de café dans son atelier, décrivant leurs vols et racontant leurs histoires de réels crahs évités, sans omettre quelques observations critiques en professionnels bienveillants sur les œuvres de Patricia. Elle les écoute, apprend et corrige des détails sur ses toiles mêlant l’art du faux et l’art du vrai. Ce regard de biais, sur la ligne d’horizon coupée, distendue puis redécoupée, elle en a totalement repris possession. C’est comme si tous ses gestes se posaient sur des coussins d’air, pour s’asseoir finalement sur une toile, puis un châssis, et y trouve une stabilité, une précision impeccable. Il n’y a plus de souffle, les formes ont toutes atterries avec beaucoup d’intensité. On oublie le bruit des moteurs, seuls les trilles des rossignols se sont gravées sur les nuages et dans les ciels eux toujours vrais. Et comme on ne saurait oublier que la peinture ne saurait être Art sans qu’elle ne soit étudiée, qu’il faut aussi sans cesse faire et refaire pour atteindre la perfection, Patricia retourne depuis peu avec bonheur à l’Ecole de Peinture Décorative Jean Sablé à Versailles