La vocation artistique
Michel a commencé à peindre sérieusement à 40 ans sans aucune formation particulière autre que celle prodiguée dans sa jeunesse par des professeurs et amis étudiants des Beaux-Arts.
Il est vrai que sa vie professionnelle très active et deux séjours à l’étranger (3 ans aux USA et 3 ans en Irlande) ont quelque peu différé l’expression de cette passion dont le caractère impérieux s’est finalement manifesté par une première exposition en 1990.
D’un style d’abord à mi-chemin du réel et de l’abstraction, sa peinture est devenue plus abstraite, plus évocatrice, inspirée de peintres qu'il admire comme Piet Mondrian pour sa rigueur de pensée, Jackson Pollock pour son « chaos », et enfin Max Ernst pour ses éblouissantes techniques mises au service du rêve.
De constantes recherches de texture l'ont finalement conduit à trouver en 2004 la technique qui anime ses toiles de façon si particulière, et qui aujourd’hui dynamise toujours sa création.
Les sources d’inspiration
Les toiles de Michel traduisent une recherche sur la représentation de la réalité, et même plutôt sur ce qui fonde la réalité. Elles évoquent les éléments de la création, sur un mode tour à tour minéral, biologique, végétal, marin, céleste, futuriste…qui parle de façon intuitive au spectateur malgré l’abstraction apparente du style.
Principales ventes
Les toiles vendues jusqu'ici se trouvent aux USA (« Heart »), en Irlande (« Amazone », « Galactic future », « Black Magic Woman », « Stop smoking »), aux Pays Bas (« Orange Engine ») pour le hall d’entrée de la compagnie aérienne hollandaise Transavia, dans une agence de voyage de Zurich (« Babylone »), et en France.